Dimanche 14 Février - Seine 47 Km

Eric a dit
Oh ça caille !!!
Tel pourrait être le résumé du jour.
Mais bon soyons un peu verbeux.
Donc en ce dimanche matin 6 inuits au rendez-vous.
Parmi nos inscrits jocassiens, nous avons pût retrouver 3 routards, 3 ouetétés et le reste du club sous la ouate de leur couette.
Nos amis ouetéteurs (Serge, François et Guy le moins jeune) ont tenté d'accrocher leurs pneus crantés dans les chemins gelés de notre campagne environnante, à eux de nous en dire plus.
Pour les routards (Alain, Jean-François et Eric), après un consensus immédiatement trouvé, nous décidâmes de la jouer petite et plane. C'est ainsi que la ré-édition du circuit longeant la Seine a remporté tous nos suffrages.
C'est ainsi, que nous avons suivi le guide des routards vers Conflans et la plaine d'Achères. Lors de notre périple, quelques portions enneigées se sont présentées à nous. Lors de ces passages nous avons, sans conteste, reconnu le style finlandais de notre ami Jean-François.
Le retour c'est fait par Conflans, et devant la demeure d'Alain, celui-ci décida que le nombre d'engelures étant trop faibles, il se proposa de raccompagner ses 2 collègues de l'Age de Glace par Pontoise.
Il est clair que le dénivelé de ce jour pourrait effrayer tout futur candidat à l'étape du Tour, mais ne négligeons pas les 4 ou 5 ascensions de ponts enjambant la Seine ou l'Oise.
Si le dénivelé était faible, la température l'était aussi, et cela nous a permis malgré tout de clore une soixantaine de kilomètres où nous avons pût tourner les jambes sans objectif de performance (ça tombait bien).

Guy dit l'Ancien a dit
Erreur mon cher Erickson, ils étaient 4 ouététistes, les trois premiers cités ayant été rejoints par Herveckson; donc ces 4 grands chasseurs ont sorti, non pas leurs motos-neige, mais leurs vélos-neige (le sens écolo des indigènes se reconnait bien là) pour une trappe dans les forêts et grandes plaines du Vexin. Le périple d'une quarantaine de kilomètres fut assez éprouvant tant pour les machines que pour les trappeurs; Les pieds et les mains transformés en glaçons malgré les efforts produits dans les ascensions. Par endroits, la couche de poudreuse approchant le demi-mètre(j'exagère à peine), les engins furent stoppés net et les hommes se sont retrouvés plusieurs fois à faire quelques galipettes rafraichissantes.
Après un peu plus de trois heures de traque tous azimuts, les valeureux trappeurs étaient de retour dans leurs igloos respectifs où les attendaient leurs femmes qui comptaient sur un bon butin. Les hommes étant bredouilles, ce fut une journée de jeûne.
Bientôt la débâcle, il va falloir remiser les vélos-neige et préparer les vélos-route.
Au travail !!


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