Résumé de la sortie:
13h 25, enfin chez moi, après 103 km, une moyenne de 26 km/h et un départ du centre culturel à 8h. Le circuit ne présentait pas de difficultés majeures, 10 au départ dont un revenant (Claude L), la température agréable, le soleil et ses derniers feux estivaux. Enfin pas de quoi expliquer un temps aussi long pour une aussi courte distance. Ce n'est pas l'ex du club Didier qui a retardé le groupe.... Il faut dire qu'il y a eu beaucoup d'arrêts, à commencer par Alain dès la côte de Boisemont assisté de Saint Bernard-Guy le moins jeune et sa pompe magique, puis ensuite encore Alain du côté de Petit Seran pour une crevaison et une chambre à air pincée au remontage donc redémontage et remontage toujours sous le contrôle de Saint Bernard-Guy, merci à Gilles pour le prêt d'une chambre à air. Enfin Alain sans chambre et sans pompe passe avec plaisir le relai dès le bas de Seran à Daniel qui l'accepte à contre coeur toujours sous le contrôle de qui vous savez. Du côté de Bercagny, alors que notre Saint Bernard était parti aux avant-postes, c'est un autre Guy plus jeune qui avec Daniel a bien été obligé de constater que de nouveau ce dernier perdait de l'air. C'est la dernière chambre à air. Il ya des jours où tout devient compliqué surtout quand au moment de repartir, Guy constate avec horreur que sa roue arrière a aussi perdu de l'air.... Passons les détails mais tout ce petit monde est arrivé à Jouy après avoir gonflé, puis gonflé et regonflé tel un shadock. A dimanche pour de nouvelles aventures.
Un anonyme a bien écrit:
En effet un dimanche au grand air propice à rouler sur l'erre après avoir pris un bon élan, mais l'air de rien, certains manquaient d'air et ont ralenti l'allure des débonnaires coursiers.
Poursuivant l'itinéraire, après Bray et Lü, nous avons emprunté une aire d'ancienne voie de chemin de fer bien agréable pour faire une bonne moyenne ( et là, Alain qui menait le train n'avait pas l'air de trop fumer). La fin du parcours fut agrémentée de quelques côtes d'un air déjà connu afin de nous laisser sans air à l'arrivée sur l'aire de Jouy. Ouf, on pouvait enfin souffler.
13h 25, enfin chez moi, après 103 km, une moyenne de 26 km/h et un départ du centre culturel à 8h. Le circuit ne présentait pas de difficultés majeures, 10 au départ dont un revenant (Claude L), la température agréable, le soleil et ses derniers feux estivaux. Enfin pas de quoi expliquer un temps aussi long pour une aussi courte distance. Ce n'est pas l'ex du club Didier qui a retardé le groupe.... Il faut dire qu'il y a eu beaucoup d'arrêts, à commencer par Alain dès la côte de Boisemont assisté de Saint Bernard-Guy le moins jeune et sa pompe magique, puis ensuite encore Alain du côté de Petit Seran pour une crevaison et une chambre à air pincée au remontage donc redémontage et remontage toujours sous le contrôle de Saint Bernard-Guy, merci à Gilles pour le prêt d'une chambre à air. Enfin Alain sans chambre et sans pompe passe avec plaisir le relai dès le bas de Seran à Daniel qui l'accepte à contre coeur toujours sous le contrôle de qui vous savez. Du côté de Bercagny, alors que notre Saint Bernard était parti aux avant-postes, c'est un autre Guy plus jeune qui avec Daniel a bien été obligé de constater que de nouveau ce dernier perdait de l'air. C'est la dernière chambre à air. Il ya des jours où tout devient compliqué surtout quand au moment de repartir, Guy constate avec horreur que sa roue arrière a aussi perdu de l'air.... Passons les détails mais tout ce petit monde est arrivé à Jouy après avoir gonflé, puis gonflé et regonflé tel un shadock. A dimanche pour de nouvelles aventures.
Un anonyme a bien écrit:
En effet un dimanche au grand air propice à rouler sur l'erre après avoir pris un bon élan, mais l'air de rien, certains manquaient d'air et ont ralenti l'allure des débonnaires coursiers.
Poursuivant l'itinéraire, après Bray et Lü, nous avons emprunté une aire d'ancienne voie de chemin de fer bien agréable pour faire une bonne moyenne ( et là, Alain qui menait le train n'avait pas l'air de trop fumer). La fin du parcours fut agrémentée de quelques côtes d'un air déjà connu afin de nous laisser sans air à l'arrivée sur l'aire de Jouy. Ouf, on pouvait enfin souffler.
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